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martek promotion - Page 2

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    STADE DE VANVES : PROBLEMES DE CRENEAUX HORAIRES

    La section Hand ball du Stade de Vanves vient de ruer dans les filets en posant le problème des créneaux horaires et des occupations de gymnases en mettant en cause la section basket. Un véritable brulot envoyé par l’un de ses dirigeants bénévoles par  mail à des membres du Comité Directeur du Stade de Vanves  : « Il faut savoir que la section Basket, utilise en grande partie, la majorité des creneaux de gymnase de la ville : Roche, Magne, Michelet. Même à certain moment, de la journée, ils ont les deux principaux gymnase ( Roche et Michelet) en même temps. Ce qui n’est pas normal » explique t-il en ajoutant :  « Nous avons demandé à la section Basket de déplacer leur école le samedi matin au gymnase Roche (qui est vide), pour nous laisser le creneau du Mercredi soir à Magne de 18h30-20h. Elle a refusé, car soit disant les parents ne veulent pas, alors qu’au Hand, la section et les parent n'ont pas le choix. Et  nous ne pouvons pas disposer du gymnase Roche, à cause de la tribune métallique, car la salle est trop petite et dangereuse pour la pratique du Handball ».

    Mais il n’y a pas que l’école de hand à être victime du Basket. Il y a aussi l’équipe premiere de Hand qui évolue en National 3, joue et s’entraine à Meudon (au gymnase Bec) : «  Les dirigeants de la section hand sont obligés de se couper en deux lorsque Vanves reçoit, entre les matchs qui se jouent à Magne, et l'équipe premiere à Meudon. C'est un sacrée boulot, gérer les deux salles, transporter le matériel, les journée du samedi sont bien rempli, et il faut aussi remettre ça le dimanche. De plus nous avons aussi une équipe qui s'entraine là bas tous les lundi soir. Car ils n’ont pas le choix. Et l'hiver il faut allez s'entrainer à Meudon la fôret, dans un gymnase ou il n'y a aucun transport en commun, mis à part la gare RER de Meudon Bellevue, à 20 min à pied, !  Il faut prendre les voitures » explique ce dirigeant bénévole très en colère. Mais on peut le comprendre ! D’ailleurs cela rappelle l’époque d’avant les courts couverts du tennis, où des dirigeants du tennis occupaient le gymnase André Roche pour des parties de tennis en salle le samedi matin. Et à ce moment là, c’était la section Basket qui ruait dans les filets, parce qu’elle ne pouvait pas l’utiliser pour son école de basket.   

     

     

    CHANTIERS : UN SITE INTERNET POUR HACHETTE ET DES SENTINELLES POUR A.BRIAND

    Deux initiatives sont prises par la municipalité de Vanves pour Informer, expliquer, ouvrir le dialogue sur les chantiers en cours sur son territoire. Telles sont les missions assignées au blog « Chantier 58 Bleuzen » qui est mis aujourd’hui en ligne par la Ville de Vanves ( www.chantier-58-bleuzen.vanves.fr). « Démarré à l’été 2012, le chantier du 58 rue Jean Bleuzen à Vanves offrira à l’horizon 2014 un nouveau visage à cette adresse retenue par Hachette Livre pour l’implantation de son futur siège social. Le premier éditeur de France a en effet choisi Vanves pour héberger son nouveau siège social conçu par l’architecte Jacques Ferrier, concepteur notamment du « Pavillon France » lors de l’Exposition Universelle de Shanghai 2010 » indique un communiqué de presse de la ville. « Le blog Chantier 58 Bleuzen a été conçu comme une passerelle entre la Ville, les acteurs du chantier et les Vanvéens, dans un souci d’information et de transparence » ajoute ernard Gauducheau. Ainsi ce site comprend une présentation exhaustive du projet, un suivi richement illustré de l’actualité du chantier semaine après semaine, une foire aux questions très utile pour l’information des riverains, un formulaire de contact permettant aux Vanvéens de poser directement leurs questions, demandes ou remarques aux différents acteurs du projet.

    Une semaine plus tard, le mardi 23 Octobre à 19H30, le maire animera la ptemière réunion du comité de suivi d’Aristide Briand  à l’ex-école mateernelle provisoire. Cette instance de concertation inédite rassemblera des sentinelles, c'est-à-dire des citoyens volontaires qui résident à proximité des chantiers, des élus, des responsables de services municipaux sous la responsabilité d’un coordinateur chargé des relations et du suvi des actions en directions des entreprises et des promoteurs. Il s’agit de limiter l’impact des chantiers pour les riverains. Occasion de rappeler la liste de ces chantiers : MARTEK Promotion à l’emplacement de l’ex-imprimerie, sur 3600 m2 SHON avec trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements. AREKA Developpement  avec un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon à l’entrée de la villa des Matraits. Une autre résidence comprenant deux immeubles de 4 étages rue RenéCoche, l’un en façade accueille des logements (12) avec porte cochére, façade traitée avec de la pierre et du zinc, l’autre derrière des duplex (2) et une petite coulée verte.  Enfin, sur l’ex-Cat, Vinci, une résidence classique beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession avec 25 répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière.

  • UNE RENTREE SOUS LE SIGNE DES CHANTIERS ET DES CONSTRUCTIONS

    Les chantiers sont très nombreux à Vanves pour cette Rentrée 2012 entre Hachette et la Conservatoire de Musique, et surtout les projets immobiliers qui entrent dans leur phase concréte de travaux dans le quartier de la rue Aristide Briand qui « va connaître une évolution dans le cadre des régles définies par le PLU (Plan Local d’Urbanisme ». Au lieu de traiter au coup par coup, chacun de ses projets qui a été présenté en réunion publique depuis prés d’un an, le maire a souhaité créer un Comité de suivi face aux risques de nuisances liés aux opérations sur ce périmétre restreint. « Son objectif sera d’assurer un contact régulier entre les responsables des travaux et des riverains, avec des réunions spécifiques dans le quartier en partenariat avec les promoteurs-constructeurs, la population du secteur avec leurs représentants, des sentinelles pour chaque chantier, afin de faire régulièrement le point sur l’évolution, gérer les questions de circulation, de réalisation de chantier lors de réunions que je présiderais avec Gérard Laubier maire adjoint chargé des travaux, et la participation des maires adjoints de quartier» indique Bernard Gauducheau, maire de Vanves. Il envisage de mettre en place une plateforme de dialogues qui prendra la forme d’un blog.

     

    Tous ces nouvelles constructions se situent donc  dans un  quartier compris entre les rues René Coche-Raymond Marcheron-Docteur Lafosse et la voie SNCF  opérations :  MARTEK Promotion  a prévu à l’emplacement de l’ex-imprimerie, sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts. AREKA Developpement  a prévu un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon pour du personnel du ministére de la Défense, à l’entrée de la villa des Matraits. Une autre résidence comprenant deux immeubles de 4 étages à taille humaine, s’intégrant dans l’existant et atténuant l’effet d’un mur pignon d’un immeuble voisin, doit être construit rue RenéCoche. L’immeuble en façade accueille des logements (12) avec porte cochére, façade traitée avec de la pierre et du zinc, l’autre derrière des duplex (2) et une petite coulée verte.

     

    Sur l’ex-Cat, Vinci a prévu un  projet de résidence classique beaucoup moins dense que le projet précédent d’une résidence hôtelière de 120 studios, et beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession et 34 places de stationnements, répartis dans un immeuble donnant sur la rue Aristide Briand avec 25 logements répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière, avec des espaces verts en  terre plein, et un accés piéton par l’impasse donnant sur la rue R.Marcheron. Enfin, à l’emplacement du garage rue Marcheron, le projet du promoteur-constructeur Sofiane dont la première version avait  fait l’unanimité des riverains contre lui, et la seconde beaucoup de réserves et d’inquiétudes sur le chantier. Ce projet avait été désensifié, avec une dizaine de logements en moins (soit 400 m2) dans un bâtiment R+5 avec une seule entrée au lieu de deux, un jardin redessiné sur terrasses avec 2 pavillons (duplex), une rue intérieure avec des locaux d’activités sous la terrasse jardin.

     

    D’ailleurs ce promoteur a enfin terminé la résidence étudiante à l’angle Diderot/R.Marcheron après moultes problèmes où le rôle de la Sentinelle s’est révélé très importante. Elle doit être livré ses prochains jours. Tout comme  l’EHPAD Maison Soins et Repos, contruit rue R.Marcheron sur le terrain où vit une communauté de jésuites de la Compagnie de Jésus, sans nuisances, ni problèmes particuliers. Une petite structure de 27 lits (24 médicalisés, 2 convalescents et 1 de passage).

    Un peu plus loin rue Jean Bleuzen, après démolition des infrastructures en Août/début septembre, le chantier du gros œuvre d’Hachette devrait commencer en Septembre. Alors que rue Solférino, l’entreprise Melchior entamera le chantier de démolition de l’ancien garage Citroen et entrepôt de la ville -  où est prévu le Conservatoire de musique -  et d’évacuation des gravats, en respectant une démarche HQE avec traitement des poussières grâce à de l’arrossage, du bruit avec recours à du matériel insonorisé, limitation des vibrations  et de la taille des gravats broyés à la pince à béton, avec tri des déchets en sélection continu sur le chantier.

  • LES ELUS DE VANVES NE SONT PÄS LES SEULS A S’INTERROGER SUR LE DEVENIR DES TERRAINS A.BRIAND ET D’AUTRES DANS UN QUARTIER TRES SOLLICITE PAR LES PROMOTEURS !

    Le Conseil Municipal abordera deux questions brûlantes mercredi soir pour sa dernière réunion avant les vacances  qui concerne l’urbanisme : la majoration des droits à construire de 30% et le devenir des terrains de l’ex-CPAM et de l’ex-DDE, rue Atristide Briand. Les débats devraient se développer sur le foncier qui est rare à Vanves, sur le logement social et bien sûr la densification d’une commune qui l’est déjà bien. Le maire dans ce domaine agit avec prudence et prend les devants lorsque c’est nécessaire pour valoriser son foncier : Ainsi la ville  a préempté le 30 rue Mary Besseyre constitué d’un bâtiment comprenant un appartement, un garage, une remise et un jardin qui font l’objet d’un loyer annuel de 30 000 € moyennant le prix de 648 000 €. Cette sopropriété jouxte l’école de musique (ex-Pavillon du stadede Vanves) à l’angle Mary Besseyre/Guy Mocquet et le  bâtiment du Conservatoire dans cette rue. « Il nous a semblé important de préempter parc que lorsque l’école de musique rejoindra Solférino, cela constituera une réserve foncière importante » avait indiqué le maire au dernier conseil municipal.

     

    Tout d’abord la définition des modalités de mise en œuvre du dispositif de participation du public prévu par la loi du 20 Mars 2012 relative à la majoration de 30% des droits à construire résultant des régles du PLU, applicable aux autorisations d’urbanisme (agrandissement ou construction de bâtiments à usage d'habitation) déposées avant le 1er janvier 2016, à défaut de délibération du conseil municipal s’y opposant. Le groupe EELV avait tenté d’interroger le maire lors du dernier conseil municipal et de faire voter un vœu que nous rappelons : « La Ville de Vanves aura à réfléchir prochainement à la densification et pourra être amenée à majorer les droits à construire pour au moins trois raisons : la nécessité de créer des logements sociaux ; le seuil de la loi SRU pourrait être relevé ; la prise en compte de l’enjeu environnemental dans les constructions ;la densification autour de la gare Fort d'Issy/Clamart/Vanves du Grand Paris Express. Pour instaurer dans la commune un débat sur la densification, le Conseil municipal de la Ville de Vanves s'engage à mettre rapidement à la disposition du public la note d'information prévue par la loi du 20 mars 2012 et à la diffuser le plus largement possible afin que le public puisse formuler ses observations. Le conseil municipal pourra ainsi délibérer à l'issue de la présentation de la synthèse des observations du public et décider des conditions d'application de cette loi dans notre commune ». Le maire avait notamment répondu sur le fonds en rappelant que « la loi prévoit en tout état de fait une concertation dont le Conseil Municipal fixera les modalités pour préparer ce débat relatif à la majoration de 30% des droits à construire. A cet effet, nous délibérerons lors de la séance du 27 juin prochain sur ce point qui figurera à l’ordre du jour du Conseil. Une note d’information sera établie et bien évidemment mise à disposition du Conseil Municipal et du public ».

     

    Ensuite, la passation d’un contrat avec la société publique locale Seine Ouest aménagement pour une mission d’assistance  auprès de la commune pour la consultation préalable à la cession des terrains A.Briand/Diderot.  « Le terrain A.Briand n’est pas une réserve foncière, mais il est actif puisqu’il est occupé par des équipements pubbics pour l’instant » a toujours répondu le maire à son opposition municipale qui l’a souvent interrogé sur le  devenir ce terrain Aristide Briand. Il a accueillit les bâtiments de l’ex-CPAM 92 et ex-DDE dont une partie a servi à acueillir  l’école élémentaire du centre pendant les travaux de l’îlot Cabourg. «  Nous souhaitons une vraie réflexion sur des équipements publics (créches), des logements sociaux sur ce terrain » ont très souvent demandé les élus socialistes. D’autant plus que le Conseil Général avait prévu la construction d’une Unité Territoriale rue René Coche dont l’étude de faisabilité devait être lancée pour des travaux de constructions en 2014-15.

     

    Ces terrains se trouvent dans un  quartier compris entre les rues René Coche-Raymond Marcheron-Docteur Lafosse et la voie SNCF qui évolue énormément avec de nombreux projets en cours qui n’ont pas laissé indifférent les riverains : « Beaucoup d’opérations se desssinent sur des terrains qui connaissent des conversions alors qu’il ne passait pas grand-chose jusqu’à présent. Parce que Vanves a modifiée son PLU qui a laissé plus de souplesse grâce à un COS plus favorable aux habitations » expliquait Bernard Gauducheau lors de deux réunions publiques qui ont réunis à l’automne dernier les  habitants de ce quartier attentifs à ce que leurs terrains ne soient pas dévalorisés. D’autant plus que plusieurs opérations sont prévues ou en  cours :  le projet de MARTEK Promotion à l’emplacement de l’imprimerie  - sur 3600 m2 shon, trois bâtiments de R+4 à R+7, de 60 logements avec parking souterrain, espaces verts. Le projet d’AREKA Developpement avec un immeuble R+3 de 26 logements avec 26 parkings, construit sur un  terrain de 785 m2 Shon pour du personnel du ministére de la Défense, à l’entrée de la villa des Matraits. Une résidence rue René Coche comprenant deux immeubles de 4 étages à taille humaine, s’intégrant dans l’existant et atténuant l’effet d’un mur pignon d’un immeuble voisin. L’immeuble en façade accueille des logements (12) avec porte cochére, façade traitée avec de la pierre et du zinc, l’autre derrière des duplex (2) et une petite coulée verte.

     

    Sur l’ex-Cat, Vinci a réalisé un  projet beaucoup moins dense que le projet précédent d’une résidence hôtelière de 120 studios, et beaucoup mieux intégré dans le site pavillonnaire et résidentiel, en jouant sur la déclinivité du terrain sur ses 1700 m2 de surfaces constructibles : 34 logements en accession et 34 places de stationnements, répartis dans un immeuble donnant sur la rue Aristide Briand avec 25 logements répartis dans deux cages d’escaliers, porche d’entrée, et 8 duplex dans l’autre bâtiment derrière, - tous à 7000 € le m2 -  avec des espaces verts en  terre plein, et un accés piéton par l’impasse donnant sur la rue R.Marcheron. Enfin, à l’emplacement du garage rue Marcheron, le projet Sofiane dont la première version avait  fait l’unanimité des riverains contre lui, et la secondde beaucoup de réserves et d’inquiétudes sur le chantier. Ce projet avait été désensifié, avec une dizaine de logements en moins (soit 400 m2) dans un bâtiment R+5 avec une seule entrée au lieu de deux, un jardin redessiné sur terrasses avec 2 pavillons (duplex), une rue intérieure avec des locaux d’activités sous la terrasse jardin.